02 février, 2006

flamme

A l'heure où la rage angevine n'accouche que d'un cendrier,
on s'interroge sur les révolutions...
Des grands homme s'y sont forgés un destin,
qu'avaient ils de plus que nous avons perdu, définitivement perdu...
L'échine ainsi courbée, nous ne voyons que la boue, et nous félicitons de ne plus y baigner... mais qui regarde encore les promesses du ciel ?

2 commentaires:

Elvire a dit…

d'aucun dans ma région aurait passé un week-end en garde à vue pour ces flammes ! mais ça va, tu restes prudent et à peine évocateur!!!

oyez a dit…

Bon sang c'est vrai que la censure ne faiblit pas ! Contentons nous des faits, pas d'interprétations, si TF1 pouvait faire de même...