Il me reste à...
Point de cuivre ni de dorure,
pas d'éclat, non rien de cela
je lis et relis ces lignes
je n'y arrive pas,
l'iris s'embrume et coule
lentement sur tes mots
déformant les lettres
qui demeurent implacables
A la fin, je dessere ce trombone,
libère la photo et oublie la lettre
Je ne veux plus ce souvenir
il me reste à batir
un nouveau souvenir
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2 commentaires:
ouais, je suis contente contente contente , je ne suis plus toute seule à jouer !!! j'avais cette idée au départ du trombonne sur mon bureau, je ne suis pas arrivée à l'exploiter ... chapeau, j'aime bien tes textes...
Merci
cela m'a amusé de partir des lumières musicales pour revenir vers l'utilitaire et finir en reverie
ces jours ci ça vient assez facile tant que je reste court
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