14 février, 2006

Valentino

Où le regard suffirait alors qu'on impose les mots,
où tes égards sont le plus cher des troffés.

je voulais t'écrire ces longs moments de silences
que je passe dans ta somnolence

A t'observer sans te voir,
A te rever plus belle que tu n'es

Pour ces rêves éveillés,
Pour ces instants volés

je t'implore de me laisser
encore et remercierjusqu'au soir de ma vie



San Valentino, persi la testa per la fede,
La forza della credenza rese meno atroce la morte ?

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