23 avril, 2006


Si ça n'était pas une vallée, bien sur qu'elle était verte ma colline
avec du jaune par ci par là, le rouge ne viendrait qu'un peu plus tard

Ahh, ce moment pouvait durer toute une vie :
allongé dans l'herbe, la brise calmant les premières ardeures du soleil
on entendait que ce que l'on voulait : oiseaux, enfants et bien sur en bas, La rivière qui n'éxiste pas et "son eau qui bruit"

Je me disais que tout était si simple, qu'il n'y avait que les hommes pour rendre l'évidence aussi inaccessible,
alors qu'il suffit de vivre, et de l'apprécier.

Voyager les yeux fermés, perdus dans les nimbus, puisqu'ils n'étaient pas assez grands
et respier encore plus fort, se préparer pour l'apnée

2 commentaires:

Elvire a dit…

marrant, je voulais faire une note de "elle était verte ma vallée", mais je te la laisse : c'est une note de footeux, je n'y arrive pas ... j'aurai voulu aussi porter quelques cartons hier ; j'ai pensé à vous, de loin, vous me manquez.

oyez a dit…

oui ça fait rever
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1594.html

bah y'avait beaucoup de monde, une très bonne ambiance et nous aussi on a pensé à toi !!!